Klantschnig et al. montrent comment les récits étatiques dominants étouffent les perspectives communautaires, renforcent la prohibition et marginalisent les moyens de subsistance, expliquant pourquoi un changement réel demeure hors de portée.
Gunaratne et al. mettent en évidence des niveaux élevés d’overdoses non mortelles et identifient des facteurs structurels, comportementaux et sanitaires appelant à une extension urgente de la réduction des risques, du soutien en santé mentale et de la prévention des overdoses.
Harm Reduction International évoque un « paradoxe mondial » où la reconnaissance politique croissante et la résilience des communautés se heurtent à des coupes budgétaires dévastatrices qui menacent désormais des décennies de progrès en réduction des risques.
L’ONUSIDA analyse les menaces pesant sur la riposte au VIH, notamment les coupes budgétaires, la criminalisation croissante et l’augmentation des violences fondées sur le genre, et appelle à des actions audacieuses pour préserver les acquis et bâtir des systèmes de soins durables, portés par les communautés.
Intersecção montre comment la prohibition des drogues alimente la déforestation, la violence et les inégalités dans la région, reliant la « guerre à la drogue » à la crise climatique mondiale et appelant à une réduction écologique des dommages et à une régulation fondée sur les droits.
Daniels et al. examinent comment le financement, l’aide technique et les intérêts des entreprises perpétuent le pouvoir néocolonial à travers le contrôle des drogues, appelant à démanteler ces systèmes au profit d’une réforme fondée sur les droits humains.
Le PNUD propose des orientations pour garantir que les technologies numériques utilisées dans les programmes de santé et de VIH soient éthiques, protègent les droits humains et promeuvent l’équité à l’ère numérique.
IDPC reflects on a year of resilience and change, driving decriminalisation, harm reduction, responsible regulation, and international drug policy reform while defending civil society and rights amid funding cuts and political turmoil.
White et al. soutiennent que les preuves scientifiques, culturelles et juridiques distinguent clairement la coca de la cocaïne, et que la politique mondiale en matière de drogues doit corriger cette ancienne classification erronée issue des préjugés coloniaux.
La Fondation appelle à une réforme de la législation en matière de drogues, incluant la décriminalisation, des approches de santé menées par les Māori et plus d'investissement en réduction des risques.
L’OMS souligne le caractère essentiel et vital de ce service de réduction des risques, et propose des stratégies pratiques pour prévenir et gérer les interruptions.
L’IDPC appelle la Commission européenne à veiller à ce que la prochaine stratégie soit équilibrée, fondée sur des données probantes et axée sur les droits, en donnant la priorité à la réduction des risques, à la participation de la société civile et à l’innovation politique plutôt qu’aux approches répressives.