Amnesty International, UNJUST UK, HRI et IDPC mettent en lumière les disparités raciales dans l'action policière sur les drogues et les violations des droits humains qui y sont associées, et appellent à la décriminalisation, à la réorientation des ressources vers les systèmes de soins et à une réforme équitable.
Allen et al. révèlent la valeur des interventions communautaires pour prévenir les épidémies de VIH, en soulignant la possibilité d'intensifier les services destinés aux communautés de consommateurs de drogues pour éviter les épidémies.
HRI souligne que le sous-investissement dans la réduction des risques dans les pays à revenu faible et intermédiaire entrave les progrès vers les objectifs de santé mondiaux, tandis que les politiques punitives coûteuses en matière de drogues prévalent.
L'APCOM et l'IDPC invitent le public, les forces de l'ordre et les décideurs politiques en Thaïlande à contribuer à garantir l'égalité et l'équité pour les personnes LGBTQ+ qui consomment des drogues, en particulier en ce qui concerne leur accès aux services sociaux et de santé, et à mettre fin à la stigmatisation et à la discrimination dont elles sont l'objet.
L'ONUDC fait le point sur les marchés des drogues, les tendances et les développements politiques au niveau mondial - avec, pour la première fois, un chapitre sur le droit à la santé et l'usage de drogues.
Michaud et al. critiquent l'implication centrale de la police qui évince les approches de santé publique dans le cadre de la décriminalisation en Colombie-Britannique.
Cette publication souligne des lacunes et offre des recommandations en termes de formation continue, davantage de collaboration entre les secteurs concernés, et de déstigmatisation.
Le Réseau juridique canadien VIH/sida identifie ce qui peut et doit être fait pour renforcer la réponse au VIH, aux autres ITSS et à d'autres problèmes de santé parmi les personnes GBT2Q qui consomment des drogues.
Søgaard et al. concluent que l'approvisionnement social et, dans une moindre mesure, l'approvisionnement à but lucratif, sont normalisés parmi les petits cultivateurs de cannabis.
L'OEDT fait état d'une disponibilité et d'une puissance élevées des substances, d'infrastructures d'approvisionnement de plus en plus sophistiquées, ainsi que de l'implication et de l'exploitation de personnes en situation de vulnérabilité sur les marchés informels.
L'ONUSIDA et l'IDPC réunissent des acteurs de premier plan afin d'identifier les priorités de la lutte contre la stigmatisation des personnes qui font usage de drogues, notamment en matière d'éducation, de formation et de réforme des politiques.