ONUSIDA appelle à une réponse bien financée, fondée sur des preuves et respectueuse des droits humains pour contrer la menace de la continuation et de la résurgence de la pandémie.
Un groupe de travail d'experts recommande des dotations supplémentaires, une campagne nationale publique, des simplifications réglementaires, la gratuité en pharmacie et des formations accesibles.
DPA et HRI condamnent la contribution multimilliardaire des États-Unis aux réponses punitives, appelant à plus de transparence et à un engagement envers une approche basée sur les droits.
L'IDPC a été ravi de participer au lancement de la Charte, saluant son engagement envers la société civile et encourageant le leadership politique à soutenir sa mise en œuvre.
La Commission globale de politique en matière de drogues expose le rôle des politiques prohibitionnistes dans l'aggravation des inégalités et propose une feuille de route pour la réforme, incluant des mesures de réduction des risques, la décriminalisation et la régulation légale des marchés.
Le Comité formule des recommandations en faveur de la décriminalisation, de l'amélioration des options de traitement, de l'élargissement des services de réduction des risques et de la lutte contre les inégalités sociales.
Stenström et al. évaluent la criminalisation des drogues en Suède – montrant qu'elle n'a pas réduit l'usage problématique de drogues ni les décès liés aux drogues, et qu'elle est, au contraire, coûteuse, inefficace et nuisible.
Le groupe d'experts recommande que le gouvernement abandonne l'approche punitive contre l'usage et la petite distribution des drogues, et explore des alternatives à la détention.
Cette édition aborde les expériences des personnes usagères des drogues, l'impact de la réduction des risques et des perspectives sur la décolonisation et l'incarcération.
Cette édition offre des sommaires des travaux du RESCIDAF et aborde la politique des drogues, la réduction des risques (RdR), et la prévention dans toute leur diversité.