Les problèmes liés à la consommation de crack sont en augmentation, potentialisés par la précarité sociale et une insuffisance de soutien sanitaire, social et communautaire, y compris en termes de réduction des risques.
Alors que de plus en plus de voix dénoncent les conséquences néfastes de la répression des drogues sur la santé et les droits humains, la France demeure indifférente aux avancées en termes de politiques connexes.
L'événement a reconnu les effets néfastes des politiques antidrogue sur les jeunes et les personnes marginalisées, et a insisté sur la nécessité de donner la priorité au soutien plutôt qu'à la punition.
Le nouveau gouvernement français a inexplicablement bloqué l'ouverture de la salle de consommation à Marseille, malgré les avantages avérés et les progrès réalisés en vue de son lancement.
L'IDPC se joint à plus de 30 organisations dans le monde entier pour demander l'arrêt de l'opération Yukthiya, appelant à la place à un accès volontaire à des soins fondés sur des preuves.
Malgré un environnement hostile, IDUCARE sert la santé de sa communauté tout en plaidant en faveur d'une réforme efficace des politiques relatives aux drogues.
Les réponses coercitives promettent de meilleurs résultats en matière de santé alors qu'en réalité, elles poussent des milliers de personnes dans des situations de vulnérabilité et d'insécurité accrues.
Des organismes communautaires, associatifs et professionnels dénoncent une dérive répressive dans le discours politique français et plaident pour des approches qui donnent la priorité à la santé et aux droits humains.