La Fondation appelle à une réforme de la législation en matière de drogues, incluant la décriminalisation, des approches de santé menées par les Māori et plus d'investissement en réduction des risques.
Le GREA affirme que restreindre l’accès aux espaces de consommation sécurisés entraîne une hausse des risques sanitaires et sociaux, tandis qu’un accès universel et à bas seuil permet de sauver des vies et de renforcer la cohésion sociale
Le Réseau juridique VIH explique comment les lois criminalisantes enracinent le racisme et la stigmatisation, aggravent les inégalités et mettent en danger la santé et la sécurité.
EHRA, Union for Equity and Health et PULS exhortent le Comité à examiner les politiques punitives de la Moldavie en matière de drogues, qui criminalisent les personnes qui consomment des drogues, limitent l’accès à la santé et à l’emploi, et renforcent la stigmatisation.
La société civile met en lumière les méfaits des approches punitives et les violations des droits, et appelle à un virage vers la santé, la réduction des risques, la décriminalisation, la réforme de la justice et des moyens de subsistance alternatifs durables.
L’équipe BOOST explique comment le renforcement de la réduction des risques dirigée par la communauté est essentiel pour atteindre l’équité, l’impact et des progrès réels dans la riposte au VIH.
Bewley-Taylor et al. estiment que le GDPI est utile pour comparer les politiques internationales en matière de drogues, mais suggèrent qu’il doit être affiné pour mieux gérer l’incertitude et la diversité des données.
Le Forum a exhorté le Conseil des droits de l'homme à adopter des résolutions périodiques, à renforcer la coordination au sein des Nations unies, à mettre en place un groupe d'experts opérationnel et à assurer la pérennité du financement de la réduction des risques, en soulignant que les droits des populations autochtones, la décriminalisation et l'inclusion de la société civile sont des priorités essentielles.
L’EHRA analyse les liens entre la « guerre contre la drogue » et les répressions élargies contre les « agents étrangers », les discours liés aux drogues et les communautés LGBTQI+.
L’INPUD alerte sur le fait que les coupes brutales dans l’aide étrangère des États-Unis ont dévasté les services de réduction des risques, laissant les personnes qui consomment des drogues sans soins vitaux, entraînant l’effondrement des services, des pertes d’emplois et une crise imminente des droits humains.
YouthRISE Nigeria présente la réponse du Nigéria en matière de réduction des risques dans le contexte de son cadre juridique, en soulignant les lacunes clés des politiques, les dynamiques institutionnelles et les opportunités émergentes de changement.
DPA appelle les États-Unis à abandonner les stratégies de « guerre à la drogue » et à adopter une approche fondée sur la santé et les droits humains, montrant comment l’interdiction mondiale alimente la violence, la pauvreté et les crises de surdose.