Le HCDH présente son rapport au Conseil des droits de l'homme sur l'impact du problème mondial lié aux drogues sur les droits humains, exhortant les décideurs politiques à adopter une approche en matière de politiques des drogues axée sur la santé et les droits humains.
La commission des affaires intérieures demande au gouvernement britannique de revoir sa législation obsolète en matière de drogues et d'adopter une approche fondée sur la santé publique.
Bonn et al. répondent aux critiques du modèle d'approvisionnement sécurisé, en soulignant l'importance de l'approvisionnement sécurisé pour réduire les décès accidentels liés à la toxicité des drogues et pour améliorer la santé et le bien-être des personnes qui font usage de drogues.
L'IDPC analyse les chocs entre les partisans de la réforme et ceux du statu quo au sein de la communauté internationale, dans un contexte de tensions liées à l'invasion de l'Ukraine par la Russie et d'appels de plus en plus centraux en faveur d'un changement systémique.
La Paradigma Youth Coalition souligne l'importance d'impliquer les jeunes dans l'élaboration de politiques progressistes en matière de drogues, fondées sur des approches factuelles, l'inclusion et la réduction des risques.
La National Harm Reduction Coalition et le Lighthouse Learning Collective s'interrogent sur l'état du système de soins pour les personnes queer et trans usagères des drogues et/ou travailleuses du sexe, en reconnaissant les insuffisances et en suggérant des pistes pour renforcer le pouvoir des communautés et améliorer le soutien apporté par les organisations de réduction des risques.
La CIDH souligne le rôle que jouent les politiques en matière de drogues dans la montée en flèche des taux d'incarcération des femmes dans la région, et appelle à des alternatives à l'incarcération et à des politiques de réinsertion spécifiques au genre.
INPUD présente une boîte à outils des meilleures pratiques, axée sur les principales interventions de réduction des risques, sur la base d'entretiens avec vingt pairs activistes consommateurs de drogues et spécialistes de la réduction des risques issus de différents pays.
Hendy et al. examinent le potentiel et les limites des dispositions existantes en matière d'équité sociale dans la législation sur le cannabis, en soulignant l'importance des cadres de réparation qui s'attaquent aux formes structurelles de l'exclusion sociale.
Dennis et al. présentent une série d'articles qui utilisent le concept de « narcoféminisme », un mouvement collectif de femmes usagères des drogues pour se mobiliser, lutter pour leur droit à l'autodétermination et faire entendre leur voix.
IDPC, Amnesty International, CDPE, HRI, DPA, Release et CELS fournissent des preuves du rôle des politiques en matière de drogue en tant que moteur de la discrimination policière et de l'incarcération.
L'IDPC et l'ICEERS soutiennent que le droit des peuples autochtones à cultiver, utiliser, posséder, soigner et voyager avec leurs plantes ancestrales devrait être inscrit dans le cadre d'un droit à la santé exempt de discrimination raciale.