L’INPUD alerte sur le fait que les coupes brutales dans l’aide étrangère des États-Unis ont dévasté les services de réduction des risques, laissant les personnes qui consomment des drogues sans soins vitaux, entraînant l’effondrement des services, des pertes d’emplois et une crise imminente des droits humains.
YouthRISE Nigeria présente la réponse du Nigéria en matière de réduction des risques dans le contexte de son cadre juridique, en soulignant les lacunes clés des politiques, les dynamiques institutionnelles et les opportunités émergentes de changement.
HR25 a mis en évidence le pouvoir de la communauté, de la société civile et du gouvernement pour faire progresser la justice et les politiques et services relatifs aux drogues axés sur les droits humains.
La série « Traduire les engagements onusiens en action » décrypte les principales normes et orientations internationales : pourquoi elles sont importantes et comment les utiliser dans votre travail.
Les décideurs doivent investir dans l'abandon des politiques et des mesures répressives relatives aux drogues, au profit d'approches fondées sur les droits humains, mettant la priorité sur la réduction des risques et le leadership des communautés.
La future stratégie offre l'occasion de remédier au manque de soutien adéquat aux services de réduction des risques et de promouvoir les résultats en termes de santé et de droits humains.
Hedden-Clayton et al. analysent comment la police perçoit les saisies de drogues comme des mesures de sécurité, alors qu'elles augmentent les risques de surdose pour les personnes usagères des drogues.
Le CNPD publie une analyse critique d’une proposition de loi vouée à l’échec, appelant à abandonner la répression au profit d’approches sociales, sanitaires et de régulation alternative.
Le SPT présente ses activités récentes, avertit que les politiques répressives en matière de drogue contribuent à la torture et aux mauvais traitements, et appelle à des traitements, à la réduction des risques et à une supervision fondée sur des données probantes et l’accès volontaire.
Des expert·e·s des Nations Unies et de la société civile appellent à un passage des politiques punitives à des approches centrées sur la santé et les droits humains.