L’IDPC se joint à la société civile mondiale pour appeler le Canada à réaffirmer son leadership en santé mondiale en engageant 1,37 milliard CAD au Fonds mondial – sauvant des millions de vies et renforçant la résilience mondiale.
L’OMS souligne le caractère essentiel et vital de ce service de réduction des risques, et propose des stratégies pratiques pour prévenir et gérer les interruptions.
La coopération internationale offre l’occasion d’harmoniser durablement les politiques régionales en matière de drogues avec les normes relatives aux droits humains.
Le Comité de l’OMS examine la chimie, la pharmacologie et les usages de la feuille de coca, soulignant des effets thérapeutiques potentiels, une faible toxicité et peu de preuves de dépendance.
Le CSFD appelle à une stratégie centrée sur la santé, les droits humains et l’équité — en passant des déclarations politiques à l’action concrète, avec la société civile comme partenaire à part entière.
L’ONUDC présente sa perspective sur le rôle des flexibilités des traités pour permettre la décriminalisation dans le cadre d’approches axées sur la santé, en identifiant les réformes et alternatives liées aux mesures punitives.
Contre la criminalisation, l’invisibilité et la violence systémique, ces initiatives cherchent à élargir la réduction des risques et la réforme des politiques tenant compte du genre, en s’appuyant sur l’expérience vécue.
Martín-Lannes et al. présentent des perspectives issues de la Colombie, soulignant l’importance de réglementations adaptées au contexte et formulant des recommandations visant à promouvoir l’équité sociale.
L’EHRA analyse les liens entre la « guerre contre la drogue » et les répressions élargies contre les « agents étrangers », les discours liés aux drogues et les communautés LGBTQI+.