Malgré des réserves initiales, les taux de consommation de drogues sont restés similaires tandis que l'accès aux services de réduction des risques a augmenté.
Les statistiques récentes montrent une diminution des décès, mais ces taux augmentent probablement dans les communautés racialisées en raison d'une criminalisation disproportionnée et d'un manque de ressources.
Les personnes fondatrices de DULF déclarent que la fermeture des clubs de compassion entraîne de grands risques pour les personnes consommatrices de drogues en leur refusant un approvisionnement sûr en pleine catastrophe des décès liés aux drogues.
Le Collège irlandais des médecins généralistes et l'Union irlandaise des pharmaciens affirment que l'usage de drogues devrait être décriminalisé et accompagné d'interventions basées sur la santé publique.
Zoorob et al. révèlent que le fentanyl est un facteur important de l'épidémie d'overdoses aux États-Unis, tout en dissipant les idées fausses sur l'effet des politiques de décriminalisation des drogues de l'Oregon sur l'augmentation de la mortalité et des taux d'overdose.
Les experts dénoncent une décision catastrophique qui réduirait drastiquement les programmes d'approvisionnement sécurisé, les sites de consommation ou les programmes d'échange de seringues – toutes des interventions essentielles.
Hedden-Claytone et al. explorent l'impact d'un programme éducatif de réduction des risques destiné aux fournisseurs de drogues pour atténuer les risques.
Les activistes de DULF ont mené une intervention qui a permis de sauver des vies en distribuant des médicaments dont le contenu était connu, déclenchant ainsi un débat crucial sur la nécessité de politiques d'approvisionnement plus sûres pour prévenir les décès par overdose.
Stoicescu et al. concluent que l'intersection de la violence du partenaire intime et de la violence sexuelle de la police est associée à une augmentation de près de quatre fois des overdoses non fatales.
Tony Duffin (Ana Liffey Drug Project) a appelé à étendre la disponibilité de la naloxone, à ouvrir des sites de consommation plus sûrs et à fournir des services de vérification des drogues.
Michaud et al. analysent le discours public entourant l’approvisionnement plus sûr, mettant en évidence les implications de la panique morale pour les personnes usagères des drogues et l'accès aux soins de santé.
