Le débat autour du programme de développement post-2015 et de l’UNGASS sur la drogue de 2016 va façonner le futur de la réponse au VIH pour les usagers de drogues injectables.
Le rapport appelle les donateurs internationaux, les gouvernements nationaux ainsi que les agences onusiennes à prendre des mesures concrètes pour résoudre la crise de financement.
Ce rapport offre une vision d'ensemble de la Commission des Stupéfiants de cette année, en mettant en évidence les points de débat et de contention principaux.
Alors que les Hauts fonctionnaires de l’ASEAN spécialisés dans le domaine des drogues, vont bientôt procéder à l’évaluation finale du Plan de Travail de l’ASEAN sur les drogues, ce rapport offre des recommandations concrètes sur la marche à suivre.
Ce rapport souligne les failles relatives au système international de classification des drogues, et propose des recommandations clés afin d’assurer la mise en place d’un système basé sur la santé et les preuves disponibles.
Ces rapports démontrent l’inefficacité de la« guerre contre la drogue » à réduire l’offre et la demande en drogues et offre des exemples de bonnes pratiques pour mettre en place de nouvelles stratégies de maintien de l’ordre.
Cette étude de cas décrit la relation entre la politique des drogues, la réduction des risques et les jeunes en Roumanie et propose des recommandations clés pour des réformes.
Cette étude de cas présente des informations sur l’Ile Maurice, où les jeunes qui consomment de la drogue se voient refuser l’accès aux services de réduction des risques.
Les organisations travaillant sur le développement peut jouer un rôle vital lors de la Session Extraordinaire de l’Assemblée Générale des Nations Unies (ou « UNGASS ») sur la drogue qui aura lieu en 2016.
La CND doit assurer un dialogue transparent, inclusif et complet de sorte que les stratégies, les politiques, et les programmes soient adaptés pour résoudre les nouvelles réalités et les nouveaux défis.
Le changement rhétorique de l’ONUDC (sur la flexibilité des conventions et les politiques fondées sur la santé) est encourageant, mais le débat a besoin d’analyses juridiques plus claires et de conseils normatifs plus approfondis que ce que le document actuel fournit.
Le traitement forcé sur le long-terme ne peut être justifié par son efficacité et l’éthique. Cette pratique a également été associée à un nombre important de violations des droits humains.
Nous encourageons les ONG travaillant sur le VIH/SIDA en Afrique à s’engager dans le processus de l’UNGASS, un moment pour leur travail tout comme a pu l’être l’UNGASS sur le VIH.
Ce rapport de l’IDPC a pour objectif de développer une meilleure compréhension des développements au niveau de la politique en matière de drogues dans 10 pays asiatiques.