Amnesty International alerte sur la torture, les conditions de détention inhumaines, les procès injustes et d’autres violations flagrantes des droits humains résultant de la « guerre à la drogue » menée par le Cambodge.
L’OEDT fournit des données sur les implications de la pandémie pour les prestataires de services de réduction des risques et de traitement, allant de la gestion du manque de personnel à l’utilisation de plateformes mobiles ou en ligne.
Frontline AIDS et le Fonds mondial offrent des orientations pour surmonter la stigmatisation, la discrimination, la violence, les lois et les politiques répressives qui empêchent les populations vulnérables d’accéder aux services relatifs au VIH.
Data for Progress et l’Institut pour la justice collaborative exhortent les autorités états-uniennes à ouvrir des salles d’injection supervisée pour prévenir les morts par overdose et la propagation des infections.
L’ONUDC fournit des preuves que la pandémie de COVID-19 et les restrictions liées au confinement perturbent les marchés des drogues à différents niveaux, allant de la pénurie de drogues à des changements dans les modes de transport.
Pettus et al. appellent les états à faire face à la pénurie et aux ruptures de stock de médicaments essentiels placés sous contrôle international, qui se sont aggravées pendant la pandémie de COVID-19.
La Commission globale de politique en matière de drogues plaide en faveur de réponses plus efficaces à la criminalité transnationale organisée et au trafic de drogues, tant par une application des lois ciblée que des stratégies de développement.
ACLU découvre que les personnes noires sont toujours plus susceptibles d’être arrêté.es pour de la possession de cannabis que les personnes blanches, y compris dans les états qui ont légalisé le cannabis.
PRI et TIJ documentent l'état des prisons, soulignant des problèmes brûlants concernant la proportionnalité des peines, le surpeuplement et le sous-financement.
Les organisations qui font partie du réseau IDPC partagent leurs idées sur les progrès et les revers en matière de réformes aux politiques des drogues dans 45 pays.
L'Efus fournit des conseils aux villes européennes qui souhaitent établir des salles de consommation de drogue dans le cadre de leur stratégie de réduction des risques
Lohman et Barrett suggèrent un examen de la légalité, de l’efficacité et de la proportionnalité fondé sur les droits humains pour combler les lacunes du système actuel.
HRI compile des preuves géographiquement diverses pour permettre à ses défenseurs de démontrer le bon rapport coût-efficacité de la réduction des risques.
L’OMS et l’ONUDC offrent des lignes directrices pour permettre à la communauté internationale de développer des services de traitement éthiques et fondés sur des données scientifiques des troubles liés à l’usage de drogues.
Maghsoudi et al. soulignent l’importance de la diversification des possibilités de traitement à base d’opioïdes dans le contexte de la crise canadienne des overdoses.
L’IDPC et le Réseau japonais de plaidoyer pour les politiques des drogues offrent une vue d’ensemble de l’usage de drogues au Japon, des réponses appliquées par les autorités publiques et du soutien disponible au sein de la société civile.
L'OFDT expose les difficultés posées par l’épidémie pour les personnes usagères de drogues et les structures d'accueil, notamment en termes d'approvisionnement, d'équipements et de continuité des soins .