HRI et l’IDPC discutent de certains défis actuels et émergeants auxquels sont confrontées de manière spécifique les personnes détenues pour des infractions liées aux drogues et les prisonniers qui font usage de drogues.
Baltazar et al. mettent en lumière l’impact positif de l’accès aux centres d’accueil et aux services qui y sont liés sur la santé des usagers de drogues.
Plotko et al. ont découvert que, dans l’ensemble, l’éducation donnée aux jeunes en matière de drogues dans la région reste ancrée dans le paradigme « simplement dire non ».
L’OEDT a découvert que la pandémie de coronavirus a affecté la disponibilité et la demande de services en lien avec les drogues en raison de l’introduction de restrictions, de la distanciation sociale et des politiques menées pour limiter les soins ne relevant pas des urgences.
Le Conseil de l’Union Européenne approuve la nouvelle stratégie du bloc régional, basée sur la réduction de l’offre, la réduction de la demande et la lutte contre les dommages liés aux drogues.
L’École de santé publique John Hopkins Bloomberg appelle à accroître l’attention et les ressources pour réduire l’incidence de la pandémie de COVID-19 sur la crise des overdoses.
Conectas, l’IDPC et INNPD fournissent un apport au Comité des droits économiques, sociaux et culturels des Nations Unies, en se centrant sur la violation des droits à la santé des usagers de drogues au Brésil.
L’IDPC et une coalition d’ONG, fournissent des recommandations pour assurer que les politiques nationales népalaises en matière de drogues respectent les droits humains et les libertés fondamentales.
Miovský et al. suggèrent que la durabilité des services de réductions des risques dans la région a été négativement affectée par un sous-investissement dans leur institutionnalisation.