Le C-EHRN souligne l'importance de la coopération entre les organisations de la société civile et les organismes publics, accompagnée d'un financement adéquat et d'un mandat clair pour les prestataires de services face à un paysage de la réduction des risques difficile et en constante évolution.
Kammersgaard souligne que les rationalités et pratiques existantes associées à la prohibition restent souvent intactes dans les propositions de décriminalisation, en dépit d'un effort en faveur de la santé et des droits humains.
Le CGHE et le INHSU Prisons notent que les personnes incarcérées sont les plus touchées par le VHC au niveau mondial et devraient donc avoir le droit d'accéder aux services liés au VHC, mais qu'elles sont trop souvent confrontées à une discrimination systématique.
L'IDPC met en lumière les principales victoires politiques, notamment en ce qui concerne la lutte contre la discrimination raciale dans les politiques en matière de drogues, la reconnaissance de l'importance de la réduction des risques pour le droit à la santé, la protection des droits des peuples indigènes et la promotion de l'engagement des organes des Nations unies en charge des droits humains dans les débats sur les politiques en matière de drogues.
L'ONUDC donne une vue d'ensemble d'un marché en plein essor, soulignant une augmentation de 35 % de la production mondiale de cocaïne après un ralentissement initial dû à la pandémie de COVID-19.
HRI documente l'augmentation spectaculaire des exécutions liées aux drogues qui ont eu lieu au cours de l'année 2022, les réponses inadéquates des acteurs institutionnels et la forte résistance de la société civile.
L'OICS examine le fonctionnement du système international de contrôle des drogues et consacre un chapitre thématique à l'analyse de la tendance à la légalisation de l'usage non médical du cannabis.
La CIJ, avec l'ONUSIDA et le HCDH, présente une approche fondée sur les droits humains des lois criminalisant les comportements liés au sexe, à la consommation de drogues, au VIH, à la santé sexuelle et reproductive, au sans-abrisme et à la pauvreté.
Pamplin et al. estiment que la persistance d'un environnement de criminalisation plus large et structurellement raciste compromet les changements de politique de santé publique opérés dans certains États américains grâce aux « lois du bon samaritain ».
É de Lei documente l'escalade de la violence policière pendant et après la période de confinement du COVID-19, ainsi que les stratégies de réduction des risques et de mobilisation de la communauté pour résister et lutter pour les droits des personnes qui habitent dans la zone.
Le C-EHRN donne un aperçu de l'état de la réduction des risques dans la région, en mettant l'accent sur les services essentiels, l'hépatite C et les nouvelles tendances en matière de drogues.