WHRIN lance une période de 16 jours de plaidoyer mondial pour démontrer le soutien à des actions et politiques qui donnent la priorité aux droits humains, à la prise en compte du genre et à la réduction des risques.
Stoicescu et al. concluent que l'intersection de la violence du partenaire intime et de la violence sexuelle de la police est associée à une augmentation de près de quatre fois des overdoses non fatales.
Une nouvelle approche juste des drogues nécessite de reconsidérer et de subvertir l'héritage colonial et impérialiste du contrôle des drogues dans le pays.
L'OEDT fait état d'une disponibilité et d'une puissance élevées des substances, d'infrastructures d'approvisionnement de plus en plus sophistiquées, ainsi que de l'implication et de l'exploitation de personnes en situation de vulnérabilité sur les marchés informels.
IDPC, HON, IDUCARE et SPINN décrivent les obstacles rencontrés dans la réalisation des droits humains, présentent des bonnes pratiques soins et de soutien et proposent des réformes.
Au-delà de la culpabilité de l'ancien président, le pays doit s'engager dans un processus de responsabilisation et de changement afin que cette tragédie ne se reproduise pas.
Le WHRIN a coordonné des actions avec des partenaires dans 18 pays pour sensibiliser et plaider contre les impacts genrés des politiques punitives en matière de drogues.
L'événement a reconnu les effets néfastes des politiques antidrogue sur les jeunes et les personnes marginalisées, et a insisté sur la nécessité de donner la priorité au soutien plutôt qu'à la punition.
L'IDPC se joint à plus de 30 organisations dans le monde entier pour demander l'arrêt de l'opération Yukthiya, appelant à la place à un accès volontaire à des soins fondés sur des preuves.
Les réponses coercitives promettent de meilleurs résultats en matière de santé alors qu'en réalité, elles poussent des milliers de personnes dans des situations de vulnérabilité et d'insécurité accrues.
L'IDPC s'appuie sur un large éventail de données provenant des Nations unies, de sources gouvernementales, universitaires et de la société civile pour conclure que les progrès accomplis dans la réalisation des objectifs fixés dans la Déclaration ministérielle de 2019 sur les drogues sont faibles, incomplets ou inexistants.