L'International AIDS Society—Lancet Commission appelle à redoubler les efforts dans la réponse au VIH, y compris la fin de la guerre contre les drogues.
TNI offre un aperçu de l’utilisation de méthamphétamine dans la région et propose des principes pour l’élaboration de politiques permettant d’adresser les défis connexes.
Les résultats révèlent que la plupart des répondants ont approuvé l’extension de la déclaration politique de 2009 et l’« intégration » plus large du plus récent document final de l’UNGASS.
L’IDPC évalue l’incidence des politiques des drogues mises en œuvre en Asie dans la décennie passée, en estimant les progrès réalisés en ce qui concerne les objectifs nationaux et régionaux et en concluant à la nécessité de se distancer de l’approche dommageable d’un « monde sans drogue ».
L’IDPC souligne les principales évolutions en Inde depuis l’adoption du Document final de l’UNGASS en 2016, qui a mis en lumière les inquiétudes en termes de droits humains en ce qui concerne les drogues et les politques des drogues.
Le LSE IDPU met en question l’efficacité des tribunaux de la drogue, en proposant, au lieu de ceux-ci, une orientation visant à rediriger les individus impliqués dans des affaires drogue hors du système de justice pénale.
La réflexion écossaise répond à la nécessité d’une approche de santé publique qui redirige les personnes vulnérables hors du système de justice pénale et vers le traitement.
HRI et l’Alliance internationale sur le VIH/SIDA fournit des preuves de la nature cruciale des investissements à effets catalyseurs pour la réduction des risques.
La Fondation néo-zélandaise sur les drogues offre une vue d’ensemble des principaux progrès et défis en matière de politiques des drogues dans le pays.
By Frank Zobel, Luca Notari, Eva Schneider, Ocyna Rudmann
Le marché des produits du cannabis contenant principalement du cannabidiol (CBD) s'est rapidement développé en Suisse depuis l’été 2016. Les produits proposés déclarent contenir peu (moins de 1%) de THC et ne sont de ce fait généralement pas soumis à la Loi fédérale sur les stupéfiants. Leur mise sur le marché a toutefois conduit à une série d'interrogations chez les autorités sanitaires fédérales et cantonales, chez les professionnels de la prévention et chez les organes de police.
A ce jour l'on manque de données pour comprendre à qui s'adresse ce marché, quels sont les produits consommés et les modes de consommation, et quelles sont les motivations et raisons de la consommation.
Pour permettre de mieux comprendre cette situation, l'Office Fédéral de la Santé Publique (OFSP) a mandaté Addiction Suisse pour obtenir une première analyse de situation de ce marché, et pour comprendre qui consomme quoi et pour quelle raison.