O’Gorman et Schatz soulignent les avantages des partenariats ente la société civile et les institutions politiques pour répondre aux besoins des usagers de drogues en matière de réduction des risques.
Une coalition d’organisations de la société civile souligne l’importance d’élaborer des stratégies visant à la résilience et à la résistance face aux attaques du gouvernement.
Snapp et Herrera analysent les mérites de l'établissement d'un commerce nord-américain licite de l'opium en tant qu'initiative de santé publique et de développement.
Le BMZ identifie des obstacles et des voies à suivre pour offrir des moyens de subsistance alternatifs, y compris par la culture du cannabis à des fins médicales.
Dix ans après l'adoption des Règles de Bangkok, les pays ont largement échoué à les mettre en œuvre, alors que le nombre de femmes en prison a augmenté de façon spectaculaire.
Moshenska et Shelly estiment que l’archéologie de l’usage de drogues peut éclairer les pratiques de santé publique locales, les expériences vécues et l’impact des lois nationales et internationales sur l’usage de drogues.
Wisse et al. estiment que les changements apportés aux mesures prises par les états relatives à l’usage de drogues et aux questions connexes devraient ouvrir la voie à des changements positifs et durables dans les systèmes de santé et de justice pénale.
Le C-EHRN souligne la résilience des services de réduction des risques afin de mettre en évidence leur flexibilité, leur ingéniosité et leur importance pour la communauté.