Bien que les politiques répressives de contrôle des drogues aient utilisé l’Etat comme un outil pour s’en prendre aux communautés racisées, il est crucial de se rappeler qu’elles ont en partie été créées dans ce but précis.
Ce collectif composé d'anciens et d'actuels policiers milite, dans un premier temps, pour la dépénalisation des drogues et pour la légalisation du cannabis.
Le rapport récent du HCDH confirme les préoccupations concernant les assassinats généralisés et systématiques et la détention arbitraire dans le cadre de la « guerre contre les drogues ».
Alors que les gouvernements traînent les pieds au milieu d'une crise d'overdoses destructrice, les organisations communautaires se mobilisent pour sauver des vies.
Parmi les recommandations, une plus grande concentration sur les nouveaux développements et défis, et une plus grande participation des communautés affectées.
La Ganja Growers and Producers Association affirme que l'industrie n'a pas été conçue avec une approche "par le bas" et que les réglementations sont inapplicables, restrictives et draconiennes.
Le principal facteur de causalité du sans-abrisme et de la consommation de drogue est le même : les politiques qui limitent la capacité des personnes à satisfaire leurs besoins quotidiens, à obtenir un emploi stable, à payer un loyer et à faire partie d'une communauté stable.
Alors que les preuves que le maintien de l'ordre et la criminalisation des personnes qui consomment des drogues ne fonctionnent pas abondent, la nécessité de financer la réduction des risques n'a jamais été aussi évidente.
Le WADPN a donné des informations crédibles aux personnes qui consomment des drogues, et leur a fourni des équipements de protection, de la nourriture et du matériel d'hygiène, tout en incitant les responsables du maintien de l'ordre à réduire les raids et les incarcérations.