À l'occasion du 10e anniversaire des règles des Nations unies à Bangkok, des dizaines d'organisations de la société civile demandent instamment au gouvernement de réduire la population carcérale féminine et les violations des droits en prison.
Des groupes impliqués dans les politiques des drogues pressent l’administration Biden entrante à mettre la priorité sur la réduction des risques plutôt que sur la criminalisation.
Les experts appellent à une action immédiate pour réduire l’incidence de la pandémie de COVID-19 sur la crise des overdoses, y compris par l’intensification des efforts en matière de réduction des risques.
Les politiques répressives en matière de drogues ont largement contribué à une augmentation exponentielle de l’emprisonnement de femmes dans le monde entier.
L'idée fabriquée d'un « autre » monstrueux, jetable, contre lequel la société doit être protégée à tout prix est au cœur de la catastrophe de l'incarcération de masse.
Alors que les États-Unis se distancent des politiques en matière de cannabis qu’ils ont aidé à universaliser, l’Inde devrait reconsidérer son interdiction d’une plante enracinée dans les traditions du pays.
Les experts de la société civile ont bien accueilli ce pas dans la bonne direction, mais ont appelé à mettre un terme à toute forme de sanction à l’égard des usagers de drogues.
Pour limiter les morts, l’Écosse doit abandonner ses réponses punitives inefficaces et mettre la priorité sur la réduction des risques comme élément d’un paquet de mesures visant à promouvoir la santé et le bien-être.