Les décideurs doivent investir dans l'abandon des politiques et des mesures répressives relatives aux drogues, au profit d'approches fondées sur les droits humains, mettant la priorité sur la réduction des risques et le leadership des communautés.
Cette « expérience » politique devrait durer quatre ans et mettre en évidence les avantages et les inconvénients de la formalisation des chaînes de production et d'approvisionnement.
Des expert·e·s des Nations Unies et de la société civile appellent à un passage des politiques punitives à des approches centrées sur la santé et les droits humains.
Des organisations comme l’Institut RIA et PrevenCasa offrent des services gratuits et sans jugement malgré un quasi-total manque de financement public.
Les observations finales du Comité sur les Philippines et le Royaume-Uni contiennent des recommandations claires pour aligner les politiques de drogues sur les normes relatives aux droits humains.