La coopération internationale offre l’occasion d’harmoniser durablement les politiques régionales en matière de drogues avec les normes relatives aux droits humains.
Cette série documentaire retrace l’histoire de l’héroïne en France, de son apparition à Paris aux réponses communautaires et associatives face au VIH et aux politiques répressives.
L’IDPC et cinq autres organisations ont appelé l’ONU à corriger des injustices historiques, respecter les perspectives autochtones et traiter les impacts néfastes des politiques actuelles en matière de drogues.
Les politiques répressives en matière de drogues dans l’ASEAN n’ont pas atteint les objectifs d’un “monde sans drogue”, tandis que la réduction des risques offre une alternative pragmatique et fondée sur les droits, déjà porteuse de résultats dans la région — quoique torpillée par la position intransigeante de Singapour.
La criminalité organisée ne disparaîtra pas à coups de bombes, car les véritables solutions résident dans le démantèlement de la corruption et la réforme des politiques de prohibition.
Neuf organisations de défense des droits humains condamnent la volonté des Maldives d’imposer la peine de mort pour trafic de drogues, avertissant que cela viole le droit international et va à l’encontre des tendances mondiales à l’abolition.
La « guerre à la drogue » contre la cocaïne alimente la déforestation en Amazonie, renforce le crime organisé et met en danger les communautés autochtones, ce qui souligne la nécessité d’une réforme fondée sur les droits.
La société civile exhorte l’OMS à maintenir son leadership en réduction des risques, à résister aux coupes de financement et à garantir une participation significative des communautés.