Des organisations comme l’Institut RIA et PrevenCasa offrent des services gratuits et sans jugement malgré un quasi-total manque de financement public.
Les observations finales du Comité sur les Philippines et le Royaume-Uni contiennent des recommandations claires pour aligner les politiques de drogues sur les normes relatives aux droits humains.
Le retour en arrière sur la décriminalisation dans l’État a mené à des milliers d’arrestations, alimentant des cycles perturbateurs de détention et de libération, sans amélioration de l’accès au logement, aux soins ou au soutien.
Les réductions de l'aide étrangère et le rétrécissement de l'espace de la société civile mettent en péril des décennies de progrès en matière de réduction des risques, d'égalité des sexes et de droits à la santé sexuelle et procréative.
L’établissement Thistle à Glasgow a soutenu 180 personnes durant ses 12 premières semaines, en offrant des services vitaux de réduction des risques et de prévention des overdoses.
Contre l’avis de la société civile, la Hongrie modifiera sa constitution pour criminaliser l’usage de drogues, poursuivant son historique de réformes sociales répressives.
L’IDPC appelle les gouvernements à mettre fin aux violations des droits humains liées aux drogues, à investir dans la réduction des risques et à aligner les politiques en matière de drogues avec les droits humains et la réponse au VIH.
Les réseaux d’approvisionnement criminalisés sont néfastes, mais les désigner comme groupes terroristes est une réponse inadaptée qui nuira de manière disproportionnée aux personnes marginalisées.
Des années de plaidoyer, notamment par l’IDPC avec le soutien du Robert Carr Fund, ont conduit à la première résolution de la CND reconnaissant la « réduction des risques » en 2024.