Ann Fordham, la directrice de l'IDPC, a appelé à un processus de transformation institutionnelle pour contribuer à un nouveau paradigme en matière de politiques des drogues.
Plus de 100 organisations de la société civile dans le monde entier exhortent la communauté internationale à entendre l’appel du Haut Commissaire à réformer le régime mondial de contrôle des drogues et les lois nationales en la matière.
Ann Fordham (directrice exécutive de l'IDPC) analyse les principales conclusions et l'importance du dernier rapport du Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l'homme (HCDH), en soulignant que son appel à un changement transformateur comprend une recommandation sans précédent visant à envisager une régulation responsable des marchés des drogues illégales.
L'IDPC met en évidence les principales avancées du rapport de 2023 du HCDH sur les droits humains et les politiques en matière de drogues, et fournit des recommandations aux États membres et aux entités de l'ONU pour une mise en œuvre efficace de ce rapport.
Le HCDH présente son rapport au Conseil des droits de l'homme sur l'impact du problème mondial lié aux drogues sur les droits humains, exhortant les décideurs politiques à adopter une approche en matière de politiques des drogues axée sur la santé et les droits humains.
L'IDPC, le CDPE, l'Instituto RIA, HRI et la Health[e]Foundation fournissent des données et des recommandations sur l'importance de la décriminalisation pour le respect des droits humains des personnes usagères de drogues.
L'IDPC appelle le système des Nations unies et les États membres à lancer un processus d'évaluation de l'impact du régime mondial de contrôle des drogues sur les droits humains et à proposer des mesures concrètes pour le réformer et le moderniser.
La CIJ, avec l'ONUSIDA et le HCDH, présente une approche fondée sur les droits humains des lois criminalisant les comportements liés au sexe, à la consommation de drogues, au VIH, à la santé sexuelle et reproductive, au sans-abrisme et à la pauvreté.
Le HCDH appelle le gouvernement philippin à adopter une approche transformatrice axée sur des solutions fondées sur les droits pour relever les défis persistants, notamment en ce qui concerne la « guerre à la drogue » destructrice.
Malgré les preuves sans équivoque en faveur de la réduction des risques et son acceptation croissante, la « guerre à la drogue » continue de siphonner les ressources publiques.
l’IDPC, HRI, le CDPE et l’Instituto RIA appellent le Haut-Commissaire à préconiser la décriminalisation des personnes qui font usage de drogues comme outil sociétal essentiel pour mettre fin au VIH/SIDA.
