Le Réseau juridique canadien VIH/sida identifie ce qui peut et doit être fait pour renforcer la réponse au VIH, aux autres ITSS et à d'autres problèmes de santé parmi les personnes GBT2Q qui consomment des drogues.
La Rapporteuse spéciale de l'ONU sur le droit à la santé explore l'importance de la réduction des risques en relation avec l'usage de drogues et les normes et politiques connexes.
L'IDPC et d'autres organisations appellent à reconnaître les effets nocifs de la criminalisation de l'usage de drogues et du travail sexuel en relation à l’action policière dans les espaces publics.
IDPC, HON, IDUCARE et SPINN décrivent les obstacles rencontrés dans la réalisation des droits humains, présentent des bonnes pratiques soins et de soutien et proposent des réformes.
Le WHRIN a coordonné des actions avec des partenaires dans 18 pays pour sensibiliser et plaider contre les impacts genrés des politiques punitives en matière de drogues.
Le Groupe de travail sur les femmes, la politique des drogues et l'incarcération fait le point sur près de dix ans de recherche collective et de plaidoyer commun, sur les réalisations et les déceptions, ainsi que sur les défis et les opportunités pour l'avenir.
WHRIN présentent leur récent travail sur le sujet très peu étudié de l'usage de drogues et de la maturation, du point de vue des femmes usagères de drogues.
Dans la majorité des pays d'Amérique latine, les infractions liées aux drogues sont le principal motif d'incarcération des femmes, ce qui a des effets dévastateurs sur leur santé mentale, physique et reproductive, ainsi que sur celle de leurs proches.
La National Harm Reduction Coalition et le Lighthouse Learning Collective s'interrogent sur l'état du système de soins pour les personnes queer et trans usagères des drogues et/ou travailleuses du sexe, en reconnaissant les insuffisances et en suggérant des pistes pour renforcer le pouvoir des communautés et améliorer le soutien apporté par les organisations de réduction des risques.
La CIDH souligne le rôle que jouent les politiques en matière de drogues dans la montée en flèche des taux d'incarcération des femmes dans la région, et appelle à des alternatives à l'incarcération et à des politiques de réinsertion spécifiques au genre.
La réforme de la politique en matière de drogues, les mesures non privatives de liberté et la lutte contre les causes profondes de l'implication dans des activités criminelles font partie des nombreux moyens dont disposent les États pour freiner la montée en flèche des taux d'incarcération des femmes.
Dennis et al. présentent une série d'articles qui utilisent le concept de « narcoféminisme », un mouvement collectif de femmes usagères des drogues pour se mobiliser, lutter pour leur droit à l'autodétermination et faire entendre leur voix.