Health Poverty Action propose de restructurer les marchés illégaux pour privilégier la santé publique, l’équité et la durabilité plutôt que de reproduire des pratiques commerciales néfastes.
L'IDPC appelle le Comité d'experts de l'OMS sur la dépendance aux drogues à rectifier l'erreur historique du classement de la feuille de coca, à affirmer les droits des peuples autochtones et à garantir leur implication tout au long du processus d'examen.
La Rapporteuse spéciale de l'ONU sur le droit à la santé explore l'importance de la réduction des risques en relation avec l'usage de drogues et les normes et politiques connexes.
L'OMS s'est engagée à faire en sorte que l'examen ne soit pas retardé et le Vice-président bolivien a souligné l'importance d'un processus intégral, incluant les usages traditionnelles.
TNI retrace l'histoire et l'état actuel des efforts de la Bolivie pour mettre fin aux persécutions liées à la feuille de coca, comme le prévoient les traités internationaux en matière de contrôle des drogues.
En analysant les effets de la régulation du cannabis, le gouvernement doit veiller à assurer l'équité envers les populations indigènes et les groupes racisés qui ont toujours été les perdants de la « guerre à la drogue ».
Le HCDH présente son rapport au Conseil des droits de l'homme sur l'impact du problème mondial lié aux drogues sur les droits humains, exhortant les décideurs politiques à adopter une approche en matière de politiques des drogues axée sur la santé et les droits humains.
Si la légalisation des psychédéliques est une étape positive vers une réforme des politiques mondiales en matière de drogues, elle ne doit pas se faire au détriment des communautés autochtones, qui utilisent depuis des siècles des plantes psychoactives à des fins de guérison émotionnelle, physique et spirituelle.
La Paradigma Youth Coalition souligne l'importance d'impliquer les jeunes dans l'élaboration de politiques progressistes en matière de drogues, fondées sur des approches factuelles, l'inclusion et la réduction des risques.
L'IDPC et l'ICEERS soutiennent que le droit des peuples autochtones à cultiver, utiliser, posséder, soigner et voyager avec leurs plantes ancestrales devrait être inscrit dans le cadre d'un droit à la santé exempt de discrimination raciale.