La conférence présentera les derniers développements en matière de réduction des risques et les pratiques innovantes et discutera de la politique en matière de drogues et de ses implications pour les personnes usagères de drogues et d'autres groupes marginalisés.
Le Conseil fédéral suisse recommande une réglementation « stricte », afin de mesurer et gérer les risques potentiels, et pouvant être assouplie ultérieurement.
Des organismes communautaires, associatifs et professionnels dénoncent une dérive répressive dans le discours politique français et plaident pour des approches qui donnent la priorité à la santé et aux droits humains.
L'OEDT présente des cadres et des principes utiles pour une communication efficace sur les risques sanitaires dans le contexte de la vérification des drogues.
Shorter et al. résument les conclusions de plus de 300 articles et ressources, et constatent de nombreux avantages pour la santé et une réduction des coûts liés aux soins de santé.
Le Haut-Commissaire Volker Türk a encouragé davantage de pays à commencer à considérer l'usage de drogues comme une question de santé publique et de droits humains, notamment par l'adoption de la décriminalisation.
La décision du gouvernement d'accorder au cannabis thérapeutique un statut ad hoc, plutôt qu'une légalisation complète, à la suite de résultats positifs pour les patients, soulève des inquiétudes quant à l'accès limité et au recours potentiel à des sources illégales, perpétuant ainsi la souffrance.
Le document de l'OEDT et de l'EUAA souligne la nécessité de surmonter les obstacles et les défis liés à l'usage de substances par les migrants et les réfugiés.