Les infirmier(e)s en Colombie Britannique se rassemble pour dénoncer la criminalisation de l’utilisation des drogues, qui augmente le nombre de morts par overdose malgré les services de réduction des risques.
L’augmentation de l’utilisation de Tramadol contrefait en Afrique représente une sérieuse crise de santé publique, mais criminaliser son utilisation reviendrait à criminaliser les gens qui souffrent.
En Asie du Sud-Est, le recours à de lourdes peines de prison ainsi qu’à la peine de mort pour les infractions liées aux drogues a échoué à réduire la taille des marchés des drogues.
Alors que le gouvernement colombien a annoncé une nouvelle vague de répression contre les communautés cultivatrices de coca, l’exemple bolivien montre que la régulation peut être une solution viable et efficace.
Ce documentaire retrace le combat et les difficultés des personnes vivant avec le VIH en Russie, où les services vitaux de réduction des risques sont quasi inexistants.
Présentée comme « une alternative basée sur la santé », cette réforme est susceptible de perpétuer les vulnérabilités vécues par ceux les plus affectés par la consommation et la répression.
La criminalisation de l’utilisation des drogues affecte les minorités ethniques et les communautés marginalisées de manière disproportionnée. Un cadre juridique pour l’utilisation du cannabis doit prendre ces éléments en compte pour éviter de recréer ces inégalités.
Le nombre grandissant de personnes s’injectant des drogues au Myanmar requiert un meilleur accès aux services de réductions des risques pouvant changer leur vie.
Cette décision, alliée à la facilitation de l'ouverture de ce type de locaux, permettra d'améliorer les mécanismes d'accueil et de soins pour une meilleure prise en charge des personnes usagères.
Un sondage suggère que l’opinion publique britannique sur la régulation du cannabis et son accès dans le cadre médical a radicalement changé ces dernières années.