L'abolition de la DEA et la décriminalisation de toutes les drogues permettront d'économiser des dizaines de milliards de dollars qui pourront être réorientés vers la recherche et les services de santé.
Les activistes pro-régulation affirment que la formalisation du marché réduira les violences, mais mettent en garde contre des régulations priorisant des intérêts privés.
Ce processus fait suite à un tollé général concernant le fait que la première version avait mis de côté la santé publique et les droits humains, ainsi que la participation de la société civile.
Les militants communautaires ont fourni une bouée de sauvetage cruciale aux usagers de drogues en situation de vulnérabilité, souvent à un coût personnel élevé et face aux représailles des autorités publiques.
Le Royaume-Uni renouvelle son programme visant à fournir aux usagers d'héroïne un approvisionnement sécurisé de cette substance, tout en leur offrant des services de santé, après que les résultats aient montré une baisse quasi totale des achats illicites.
La deuxième partie de la série de Drug Reporter révèle comment les jeunes qui plaident pour une réforme des politiques des drogues font face aux nouveaux défis et opportunités engendrés par la crise du COVID.
Au Canada, un nombre croissant de personnes sont favorables à la décriminalisation et à usurper le marché illicite par la régulation légale, l'éducation et le soutien aux usagers de drogues.
La recherche de l’ITTC montre que la majorité des femmes affectées par l’emprisonnement sont noires, jeunes et issues de milieux défavorisés, une bonne partie ont des enfants ou sont enceintes.