Cette déclatation sera discutée lors de la prochaine Assemblée Générale de l'Organisation des Etats Américains qui aura lieu en Juin prochain au Guatémala.
Brighton s’apprête à être la première ville britannique à offrir des salles de consommation de drogue où les gens seront en mesure de consommer de l'héroïne, du crack et de la cocaïne sous surveillance sans crainte de poursuites.
Le but de la rencontre était de discuter du fonctionnement des réseaux dans chaque pays et de la pertinence de la mise en place d'un réseau régional en Afrique de l'Est.
Un panel de quatre experts en provenance de l'Afghanistan, de Serbie, d'Uruguay et du Mexique ont discuté la nécessité de rompre le tabou et d’analyser si oui ou non la guerre contre la drogue avait échoué à atteindre ses objectifs.
Chris Ford, directrice de l’IDHDP, décrit l'effet des politiques malsaines en matière de drogues et met en avant le rôle important des médecins dans l'élaboration de politiques plus saines.
Un projet de loi présenté au Congrès règlerait le conflit entre les lois prohibitionnistes du gouvernement fédéral et les lois des Etats qui permettent l’usage médical ou récréatif de la marijuana.
Pour réduire la transmission du VIH chez les enfants et les jeunes consommateurs de drogues, la limite d'âge légale imposée à l’accès aux services de réduction des risques est de toute évidence une politique discriminatoire qui n’a pas réussi.
Le Sénat à majorité républicaine de l’Etat de l’Arkansas a approuvé un projet de loi inquiétant qui exigerait un dépistage antidrogue au hasard des habitants de l'Arkansas qui touchent les allocations chômage de l’Etat.
Le projet EuroHRN a été initié en 2010 par les organisations membres du Forum Européen pour la Société Civile en matière de drogues travaillant dans le secteur de la RdR. Lire ici un mis à jour de ces activités, partenaires et contenu.
Des acteurs spécialisés bruxellois de la « Concertation Bas Seuil » lancent un appel afin de mettre en place des salles de consommation à moindre risques (SCMR) en Belgique.
Cette modélisation démontre que traiter chaque année 10 usagers de drogues sur 1000 infectés, permettait 10 ans après de faire baisser la proportion d’usagers de drogues infectés et, pour tant, que traiter l’hépatite C chez les patients usagers de drogues reste fondamental.