En Nouvelle-Zélande, une récente étude a démontré que le taux de prévalence du VIH parmi les usagers de drogues injectables venait juste d’atteindre 0.2% ; le taux le plus faible jamais enregistré en Nouvelle-Zélande et sûrement le plus bas au niveau mondial.
En mettant l’accent sur la participation communautaire et le respect des droits humains, cette approche est la première initiative mondiale à adapter le principe de la réduire les risques dans le domaine de l’offre.
A Singapour, la reprise du recours à la peine de mort pour les infractions liées au trafic de drogues est inquiétante, tout comme son approche globale à l’égard des politiques en matière de drogues.
Dans un contexte où les ressources sont limitées, la prévention, le traitement et les soins relatifs au sida doivent se centrer sur des investissements plus judicieux soit des programmes pouvant avoir l’impact le plus important pour mettre fin à la transmission du VIH et enrayer l’épidémie.
Aux Etats-Unis, des dizaines de milliers de prisonniers purgeant leur peine pour des infractions (fédérales) liées aux drogues auront la possibilité de bénéficier d’une libération anticipée à partir du début de l’année prochaine.
L’ONUDC invite les organisations de la société civile œuvrant dans le domaine de la réduction des risques à déposer leurs demandes de subventions liées au VIH/SIDA.
Washington DC a mis un terme aux sanctions qui pénalisaient la possession de petites doses de cannabis. La capitale américaine a désormais l’une des lois les plus libérales des Etats-Unis en matière de marijuana.
Alors que la communauté internationale envisage de se fixer comme objectif la fin du sida en tant que menace pour la santé publique d’ici à 2030, les activistes du monde entier ont organisé plusieurs actions coup de poing à la conférence de Melbourne pour demander aux leaders politiques de se donner les moyens de la fin de l’épidémie avec la taxe Robin des Bois.
Un grand quotidien américain, le New York Times, vient de prendre position pour une évolution de la législation sur le cannabis. Comparant sa pénalisation à la prohibition et ses conséquences, il a clairement titré «Abroger la prohibition, à nouveau».
La politique géorgienne représente un bon exemple d’une approche en matière de drogues basée sur des preuves scientifiques et sur la santé publique, plutôt que sur un régime répressif sévère.
L’expert onusien en matière de drogues a déclaré, lors de la session annuelle du Conseil Economique et Social (ECOSOC), que le crime organisé et les activités criminelles nuisaient aux institutions fondamentales telles que l’Etat de droit et la prestation de services de santé et d’éducation.
Le 14 Juillet, l’IDPC a collaboré avec le Comité des organisations non gouvernementales de New York (NYNGOC) ainsi qu’avec les Ambassades du Bénin, de la Suisse et du Mexique à New York pour discuter des attentes et des résultats potentiels de l’UNGASS de 2016.