Les politiques sur les drogues au Canada sont à un tournant. Le gouvernement fédéral a déclaré son réengagement à la réduction des méfaits et à la santé publique, et il est de nouveau ouvert à discuter avec la société civile.
Les femmes pauvres et marginalisées sont vulnérables au risque d’être entraînées dans le commerce de la drogue. Le gouvernement Indonésien ignore les conditions qui provoquent l’implication de personnes ordinaires dans le trafique de drogue.
Le Rapport Mondial sur les Drogues de 2016 fait peu pour reconnaître la nécessité de nouvelles approches dans la manière de gérer les questions relatives à la politique des drogues dans une optique de droits humains et de santé publique.
Des chercheurs cliniciens ont évalué les données scientifiques mondiales actuelles et en ont conclu que le traitement obligatoire pour les personnes ayant un trouble lié à l’abus de substance n’est pas efficace pour réduire leur consommation de drogue.
Les programmes de développement rural visant à amener les fermiers à se passer de leurs cultures illicites doivent composer avec le manque de routes, d’eau et d’électricité dans des régions éloignées affectées par des milices.
La Russie, le Cameroun, la Tanzanie et 51 pays musulmans on empêché 22 ONG représentant les populations clés et vulnérables de participer à la conférence et la déclaration finale reflète cette discrimination.
Le questionnaire est conçu pour générer des données qui aideront à dresser un portait de l’engagement de la société civile dans la politique nationale des drogues en Europe.