Felipe Calderón a lancé la guerre après avoir été élu en 2006. Et depuis lors, les USA ont donné au moins 1,5 milliards de dollars – mais la plupart des coûts ont été humains.
Un article porteur d’espoir sur l’usage de drogues, la réduction des risques, et les initiatives de la société civile en Afghanistan, où la capacité à aider les usagers fait défaut tout en étant parfois entravée par l’agence nationale antidrogue.
Les programmes de réduction des risques sont essentiels dans ce pays où 51,5 pourcents des 6'402 personnes enregistrées comme vivant avec le VIH sont des personnes qui s’injectent des drogues.
La Professeure Alison Ritter fait valoir que les sommes importantes investies dans l’application des lois pour réduire la consommation de drogues sont inefficaces.
Un ouvrage percutant sur l’impact différencié selon le genre de la guerre aux drogues au Mexique, où près de 7'000 femmes et filles ont disparues depuis 2007.
Après le succès d’un projet semblable de test de drogues dans les festivals l’été dernier, ce projet pilote permettra la collecte de données scientifiques et l’évaluation de l’efficacité d’un tel projet dans les nightclubs au Royaume-Uni.
Ce documentaire relate les histoires de ceux qui sont confrontés à l’hépatite C aux USA et fait état des questions entourant une maladie qui peut être soignée.
Des études publiées récemment indiquent que la psilocybine pourrait aider à lutter contre la dépression et l’anxiété. Elles soulignent la nécessité de poursuivre la recherche.
L’ONUSIDA rapporte que seulement 3,3 pourcents des dépenses consacrées à la prévention du VIH entre 2010 et 2014 étaient affectées aux personnes qui s’injectent des drogues.
Cet événement, organisé en marge de la CND en Décembre, indique un intérêt croissant pour mettre fin aux difficultés auxquelles sont confrontées les femmes incarcérées pour délits de drogues.