Tant au sein que loin du siège de l'ONU à New York, le débat qui aura lieu en Avril représente une opportinuté fondamentale pour mettre en avant les dommages générés par les politiques internationales en matière de drogue, ainsi que pour donner la parole aux personnes et communautés les plus affectées.
Le rapport de l'Organe international de contrôle des stupéfiants (OICS) de 2015 met en avant la santé des consommateurs, l'inutilité de les incarcérer et insiste sur les droits de l'homme.
En une année de mise en œuvre de son programme pilote de méthadone, le Sénégal est en train de poser les jalons de la réduction des risques en Afrique.
La ville de Berne souhaite autoriser un groupe de consommateurs à acheter du cannabis auprès des pharmacies. Un projet compatible avec la loi sur les stupéfiants, estime une juriste mandatée par l’exécutif communal.
En perspective du sommet des Nations Unies sur la drogue, des groupes de la société civile des quatre coins du monde ont publié une déclaration condamnant les gouvernements de ne pas reconnaître les conséquences dévastatrices des politiques punitives et répressives en matière de drogue.
Cette semaine en Australie, un sommet parlementaire sur la drogue a discuté d’une potentielle réforme des politiques des drogues, en particulier la dépénalisation, la décriminalisation et la légalisation.
Alors que l’Amérique du Nord est touchée par une épidémie d’overdoses mortelles, des villes souhaitant mettre en place des sites d’injection supervisée se tournent vers Insite à Vancouver pour obtenir des conseils.