Le rapporteur spécial des Nations unies sur l'extrême pauvreté demande que l'on s'éloigne des mesures punitives et que l'on reconnaisse la réduction des risques comme un cadre permettant de remédier aux vulnérabilités spécifiques des personnes usagères des drogues.
Amnesty International, UNJUST UK, HRI et IDPC mettent en lumière les disparités raciales dans l'action policière sur les drogues et les violations des droits humains qui y sont associées, et appellent à la décriminalisation, à la réorientation des ressources vers les systèmes de soins et à une réforme équitable.
La Rapporteuse spéciale de l'ONU sur le droit à la santé explore l'importance de la réduction des risques en relation avec l'usage de drogues et les normes et politiques connexes.
La Rapporteuse spéciale sur le droit à la santé lance un appel à contributions pour un rapport sur les impacts de la réduction des risques sur l'équité en matière de santé.
Plus de 30 organisations européennes reconnaissent l'échec des politiques en matière de drogues et demandent une nouvelle approche axée sur la santé, les droits et la participation.
Alors que de plus en plus de voix dénoncent les conséquences néfastes de la répression des drogues sur la santé et les droits humains, la France demeure indifférente aux avancées en termes de politiques connexes.
Ann Fordham, la directrice de l'IDPC, a appelé à un processus de transformation institutionnelle pour contribuer à un nouveau paradigme en matière de politiques des drogues.
Cette table ronde sera l'espace pour un dialogue constructif sur les défis en matière de droits humains dans le cadre des réponses politiques à la situation mondiale relative aux drogues.
L'IDPC, Viso Mutop et l'OGDP examinent la discussion du rapport sur les marchés florissants de la drogue et la position de l'ONUDC sur des questions clés telles que la décriminalisation, les droits de l'homme et l'impact environnemental, notant l'influence croissante de la « criminologie verte » et son potentiel pour redéfinir les perspectives.