La réunion du Comité d’experts de l’OMS sur la pharmacodépendance évaluera les examens critiques de quelques substances, dont la feuille de coca, orientant les futures décisions internationales d’inscription, avec d’importantes implications pour les droits des peuples autochtones.
L’ONUDC présente sa perspective sur le rôle des flexibilités des traités pour permettre la décriminalisation dans le cadre d’approches axées sur la santé, en identifiant les réformes et alternatives liées aux mesures punitives.
L’ambassadrice Laura Gil évoque le défi de remettre en question le régime mondial des drogues, briser les tabous et construire un avenir post-prohibition, coalition après coalition.
DPA appelle les États-Unis à abandonner les stratégies de « guerre à la drogue » et à adopter une approche fondée sur la santé et les droits humains, montrant comment l’interdiction mondiale alimente la violence, la pauvreté et les crises de surdose.
Des organisations de la société civile du monde entier appellent le secrétaire général des Nations unies à garantir l'indépendance, la crédibilité et la représentativité du groupe d'experts chargé de cette évaluation et à promouvoir une réforme significative et respectueuse des droits humains.
L’IDPC présente des considérations et aspirations clés pour le panel indépendant établi par la CND afin d’examiner le système de contrôle des drogues des Nations Unies, en soulignant les écueils potentiels à éviter pour que cette évaluation ait un réel impact.
L'IDPC fournit des informations de base sur le classement de la feuille de coca dans les traités internationaux de contrôle des drogues, décrit le processus de révision par l'ECDD et plaide pour son retrait.
La Suisse appelle à un changement global des politiques relatives aux drogues, mettant l’accent sur la réduction des risques, la santé et la coopération sous l'égide des droits humains.
L'IDPC appelle le Comité d'experts de l'OMS sur la dépendance aux drogues à rectifier l'erreur historique du classement de la feuille de coca, à affirmer les droits des peuples autochtones et à garantir leur implication tout au long du processus d'examen.