Intersecção montre comment la prohibition des drogues alimente la déforestation, la violence et les inégalités dans la région, reliant la « guerre à la drogue » à la crise climatique mondiale et appelant à une réduction écologique des dommages et à une régulation fondée sur les droits.
Des experts internationaux de premier plan en matière de droits humains ont appelé à mettre fin aux attaques et à mener une enquête indépendante afin de garantir la responsabilité.
La Fiocruz et des organisations alliées dénoncent l’opération policière meurtrière à Rio, condamnent la sécurité militarisée et la nécropolitique, et exigent des politiques citoyennes protégeant les droits et la vie.
La Bolivie régule la culture de la coca par des limites communautaires respectant le patrimoine autochtone, tandis que le Pérou impose l’éradication forcée – alors que l’OMS réévalue le statut de la coca, les enjeux pour les cultivateurs n’ont jamais été aussi élevés.
White et al. soutiennent que les preuves scientifiques, culturelles et juridiques distinguent clairement la coca de la cocaïne, et que la politique mondiale en matière de drogues doit corriger cette ancienne classification erronée issue des préjugés coloniaux.
L’IDPC a exhorté les experts à mettre fin à une injustice coloniale, en appelant au déclassement de la feuille de coca et à la pleine reconnaissance des traditions et des droits des peuples autochtones.
Ce séminaire abordera comment le Brésil se trouve à un tournant historique où la dépénalisation partielle de l’usage des drogues et le débat sur la légalisation du cannabis s’opposent à un discours persistant de « tolérance zéro».
L’IDPC et cinq autres organisations ont appelé l’ONU à corriger des injustices historiques, respecter les perspectives autochtones et traiter les impacts néfastes des politiques actuelles en matière de drogues.
Le Comité de l’OMS examine la chimie, la pharmacologie et les usages de la feuille de coca, soulignant des effets thérapeutiques potentiels, une faible toxicité et peu de preuves de dépendance.
Zuluaga Duque et al. montrent comment les politiques de substitution de la coca continuent de miner l’autonomie des femmes en ignorant leurs conditions d’exploitation et d’exclusion, malgré leur rôle central dans la culture.
HRI et LANPUD appellent à réformer les lois punitives qui alimentent l’incarcération de masse et violent les droits, et à investir dans la santé, la réduction des risques et le leadership communautaire.