Le Conseil fédéral, organe exécutif suisse, souhaite rendre l'accès au cannabis médical plus facile et explorer les différents modes de réglementation de la consommation récréative du cannabis.
Le projet de loi intensifie la guerre violente contre la drogue menée par le gouvernement, tout en menaçant encore plus les droits humains dans le pays.
Le plaidoyer et l’apprentissage transnationaux entre le Kenya et le Burundi ont abouti à une amplification de l’information et de la mise en œuvre des pratiques de réduction des risques.
La disponibilité de la naloxone a servi de mesure efficace de réduction des risques en Ontario et dans d’autres provinces canadiennes, tout en préparant le terrain pour des modèles semblables aux Etats-Unis, où la crise des opioïdes continue de s’aggraver.
En parallèle à la consultation publique en cours du gouvernement, des intervenants clés organisent des dialogues avec d’autres acteurs principaux sur la nécessité d’améliorer les services sociaux et de mettre un terme à la criminalisation des communautés affectées.
La Société des usagers de drogues injectables vivants (SOLID) a mis en œuvre des programmes pour soutenir les pairs par des programmes de réduction des risques et le plaidoyer. Mais le financement public reste faible.
Le Secrétaire Général des Nations Unies a appelé la communauté internationale à adopter des politiques des drogues qui mettent la priorité sur la prévention, le traitement et l’insertion sociale.
Les mois précédant la fin de son mandat, Juan Manuel Santos a décidé de rétablir les actions d’éradication forcée de la coca en utilisant des drones et du glyphosate, un herbicide associé au cancer.
Prenant acte de l’augmentation de la prévalence dans le pays, le Conseil Fédéral de la Suisse a donné son feu vert à des essais limités pour explorer des modèles politiques alternatifs.