Le réseau sur les politiques des drogues en Europe du Sud-est, lancé par l’IDPC début 2010, a tenu sa troisième rencontre à Thessalonique (en Grèce) en Mars 2011, pour partager les connaissances et expériences de la région et pour identifier les problèmes récurrents et les priorités afin de soutenir les activités de sensibilisation politique en Europe du Sud-est. Lire davantage (en Anglais).
La guerre contre la drogue a engendré des dépenses massives, conséquence d’une approche guidée par le maintien de l’ordre et donnant au crime organisé le monopole du trafic de drogue. Il est temps d’évaluer les dégâts de cette approche et d’explorer des alternatives.
Les cartels de drogues mexicains opèrent sans retenue en Amérique centrale. Les interventions de répression soutenues par les USA au Mexique et en Colombie ont simplement déplacé les trafiquants dans une région où la corruption est rampante, où les frontières ne sont pas même protégées par un contrôle minimal d’immigration, et où les gangs locaux fournissent l’infrastructure nécessaire pour le crime organisé.
La chef de police la plus jeune du Mexique, Marisol Valles Garcia, s’est enfuie aux Etats-Unis après avoir reçu des menaces de mort. L’étudiante en criminologie avait été acclamée comme étant la femme la plus courageuse du Mexique en 2010, alors qu’elle prenait la tête des forces de sécurité publique dans la ville frontière de Praxedis G. Gerrero.
La ville néerlandaise d’Utrecht a déclaré que les fumeurs de cannabis pourraient dorénavant faire pousser leur propre cannabis dans une coopérative, en dépit de la déclaration du Ministère de la sécurité et de la Justice proclamant que ce projet était illégal et serait sujet à des poursuites judiciaires s’il était mis à exécution.
Sur la base de deux rapports calomnieux sur la drogue, le président bolivien Evo Morales a accusé les Etats-Unis et les Nations Unies de conspirer contre son gouvernement. Selon lui, les critiques concernant manière dont la Bolivie fait face à la guerre contre la drogue cherchent à associer son gouvernement au trafic de drogues.
En Novembre 2010, le Centro de Investigación Drogas y Derechos Humanos (CIDDH), a été invité à participer à l’élaboration d’une proposition nationale sur les drogues et le trafic de drogues. L’approche promue par le CIDDH, basée sur les preuves disponibles et les droits humains, a été bien reçue par les medias.
Le Fond Mondial a accordé une subvention de 8.3 million à MENAHRA, pour développer les activités de sensibilisation, et promouvoir et développer les capacités des organisations non-gouvernementales afin d’améliorer les prestations de services de réduction des risques dans 12 pays au cours des trois prochaines années.
La déclaration officielle de la Conférence internationale de réduction de risques de 2011 demande aux Nations Unies de tenir ses engagements sur le VIH pour les personnes qui injectent des drogues dans le monde entier.
Ce cours sur internet est conçu pour aider les personnes à écrire, et présenter des résumés lors de conférences scientifiques.
Jetez un coup d’œil sur les impressions de la Société civile sur la Commission des Stupéfiants (CND), publiées sous la forme de rapports, de blogs et de vidéos par le Réseau Eurasien de Réduction des Risques (EHRN), la Coalition pour la Réduction des Risques, l’Union Hongroise des Libertés Civiles (HCLU), Espolea, la Coalition Mondiale des Jeunes pour le VIH/SIDA, Le Réseau Mondial d’Action de la Jeunesse, et Youth RISE.
The CNS reports that harm reduction policies have managed to vastly reduce HIV infections among people who use drug in France, yet several serious problems remain, including a high prevalence of hepatitis and serious social and sanitary problems among many people who use drugs.