Un article très documenté, publié dans le New York Times, décrit la politique des drogues développée par le Portugal comparée à la politique menée jusqu’ici par les Etats-Unis et en tire les leçons qui s’imposent.
Le scénario d’une amende pour usage de stupéfiants augure un transfert majeur de la politique pénale de la justice vers la police et empêche une approche sanitaire et sociale du problème.
EHRN n'existe plus comme organisation mais le réseau est bel et bien vivant et une autre ONG a été établie pour continuer les programmes de réduction des risques dans la région.
Deux associations seront reconnues et financées pour fournir des services de réduction des risques, une démarche qui s’accompagne d’un appel au fédéral à faire évoluer le cadre légal.
La Coalition mondiale souhaite attirer l'attention sur les raisons pour lesquelles les personnes vivant dans la pauvreté sont plus susceptibles que d'autres d’être condamnées à la peine de mort et exécutées.
Les réseaux d’entraide en milieu de travail exhortent à penser l'impact de la régulation sur les droits des travailleur-e-s à travers le prisme de la réduction des risques.
Selon le Ministère de l’Intérieur, 13'691 personnes ont été arrêtées pour des infractions liées aux drogues au cours des neufs derniers mois, une situation dont les experts avertissent qu’elle détériorera des conditions de détention déjà catastrophiques.
Plutôt que de répondre aux préoccupations de ces communautés, les forces de sécurités ont tiré aveuglément sur les manifestants, provoquant au moins huit meurtres signalés et blessant plus de cinquante personnes.
Les stratégies de réduction des risques telles que la légalisation, les thérapies de substitution (ou prescriptions) à base d’opiacés et l’injection supervisée ont prouvé leur efficacité dans des pays tels que le Portugal ou la Suisse