Le Rapport Mondial sur les Drogues de 2016 fait peu pour reconnaître la nécessité de nouvelles approches dans la manière de gérer les questions relatives à la politique des drogues dans une optique de droits humains et de santé publique.
Les femmes pauvres et marginalisées sont vulnérables au risque d’être entraînées dans le commerce de la drogue. Le gouvernement Indonésien ignore les conditions qui provoquent l’implication de personnes ordinaires dans le trafique de drogue.