Alors que les gouvernements du monde entier célèbrent la journée mondiale des Nations Unies contre les drogues et le trafic, la plupart des données scientifiques montrent que les stratégies de contrôle des drogues en vigueur n’ont eu que peu d’effet pour créer « un monde sans drogue ».
Le Groupe Stratégique Consultatif des Nations Unies sur l’Injection de Drogue et le VIH a reconnu le risque accru d’exposition au VIH auquel sont confrontés les usagers de drogues et le financement inadéquat des programmes de réduction des risques.
En Asie, les politiques des drogues sont utilisées pour entraver les droits humains et réduire au silence les voix dissidentes. Cette relation antagoniste entre l’état et ses citoyens se substitue à la responsabilité qu’a l’état de protéger sa population.
Le Forum Mondial sur les HSH et le VIH conseille la société civile et les communautés sur la manière de participer aux activités d’allocation de fonds une fois qu’une demande de financement a été élaborée.
Le Réseau International des Usagers de Drogues (INPUD) a travaillé avec les réseaux sud-africains pour formaliser le nouveau Réseau Sud-Africain des Usagers de Drogues (SANPUD).
Des représentants de la société civile et du gouvernement débattent de la nécessité d’avoir des politiques des drogues ancrées dans les droits humains, la santé publique et la réduction des risques.
Pendant trois jours, des représentants nationaux et internationaux sont intervenus afin de démontrer le succès des programmes de réduction des risques.
Ce rapport fournit un aperçu des activités de l'IDPC entre 2016 et 2017, y compris nos efforts continus pour renforcer les capacités de plaidoyer en faveur de la réforme des politiques des drogues et les nombreuses publications et ressources produites au cours de cette période.
L'IDPC passe en revue les réussites et les obstacles liés à la participation de la société civile à l'UNGASS 2016 en tant qu'étude de cas à intégrer dans le prochain rapport du HCDH.
Les attaques du gouvernement ciblant la Fondation Andrei Rylkov ne font que renforcer l’engagement de l’organisation pour la justice sociale et un élan de solidarité internationale.
« J’estime que les politiques des drogues doivent passer d’une approche basée sur la substance à une approche centrée sur les personnes », a déclaré Mme Clark.
La Commission mondiale pour la politique des drogues explore les préjugés qui se cernent sur les personnes usagères des drogues et offre des éléments de réflexion pour en finir avec ces discriminations.
Roxana Argandoña explique comment les syndicats boliviens ont joué un rôle fondamental dans la réforme de la politique et l’inclusion des femmes dans le processus de prise de décisions pour la première fois.
Au-delà des risques liés à la consommation, les personnes qui consomment des drogues font face aux discriminations, ce qui intensifie leur exclusion sociale.