Migrants et minorités ethniques : comment faciliter l’accessibilité et l’interculturalité des services pour usagers de drogues

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Migrants et minorités ethniques : comment faciliter l’accessibilité et l’interculturalité des services pour usagers de drogues

3 février 2020

Par Charlotte De Kock, Lyssa Toyinbo, Fred Laudens, Sébastien Alexandre, Pascale Hensgens, Carla Mascia, Stéphane Leclercq, Sandrine Janssens, Dirk Jacobs, Tom Decorte / Projet MATREMI (cartographie de la présence et de l’amélioration du traitement de la toxicomanie chez les migrants et les minorités ethniques)

Le projet MATREMI a été financé par la Politique scientifique belge en 2019 (www.belspo.be, DR/84). Ce projet fait suite à la recherche PADUMI (« patterns of drug use among migrants and ethnic minorities ») (www.belspo.be, DR/69).

Le premier objectif du projet MATREMI est théorique : mieux cartographier les migrants et minorités ethniques (MEM) dans l’aide et le soin en toxicomanie sur base d’un enregistrement des patients. Vous pourrez prendre connaissance de cet objectif et des recommandations politiques qui l’accompagnent en consultant le rapport MATREMI en ligne (www.belspo.be). Le second objectif est d’identifier des pratiques inspirantes visant à améliorer l’accessibilité aux services, le maintien en traitement et la prise de contact des MEM avec les services de toxicomanie dans le pays et à l’étranger.

Le présent recueil veut donc présenter les pratiques inspirantes aux professionnels du soin en Belgique. Il rassemble des pratiques aussi bien du nord que du sud du pays. Ce projet a été coordonné par l’Université de Gand (UGent) (Charlotte De Kock, Pr Tom Decorte), en étroite collaboration avec l’Université Libre de Bruxelles (ULB) (Dr Carla Mascia, Pr Dirk Jacobs) et avec les organisations faîtières représentant le traitement spécialisé en toxicomanie en Belgique : le Vlaams expertisecentrum Alcohol en andere Drugs (VAD) (Lyssa Toyinbo, Fred Laudens), la Fédération Bruxelloise Francophone des Institutions pour Toxicomanes (FEDITO BXL) (Sébastien Alexandre, Stéphane Leclercq, Sandrine Janssens) et la Fédération Wallonne des Institutions pour Toxicomanes (Fedito Wallonne) (Pascale Hensgens).