L'association Ithaque décrit leur engagement pour la santé des personnes usagères des drogues et des meilleures politiques des drogues les concernant, y compris à travers cette campagne mondiale.
Les discours stigmatisants et les pratiques répressives en relation au crack et aux personnes qui en utilisent ne servent en rien à répondre aux besoins vitaux des personnes usagères et des des autres voisins des scènes ouvertes.
À Singapour, au moins 30 personnes sont actuellement dans le couloir de la mort pour trafic de drogues et risquent donc d'être exécutées de manière imminente.
HRI, IDPC et CDPE ont mis en lumière les impacts des politiques punitives en matière de drogues sur les communautés racisées, notamment en ce qui concerne la police et la criminalisation, ainsi que l'accès limité aux services de santé, de réduction des risques, de traitement et aux services sociaux.
Les organisations de la société civile, les organismes professionnels et une foule de personnes expertes demandent au gouvernement britannique de veiller à la mise en place de centres de prévention des overdoses.
L'intervention de la police est l'élément qui dissuade le plus les gens de demander de l'aide médicale. Les activistes et les groupes de défense des droits appellent à une réduction des risques et à des interventions moins aggressives.
24 autorités expertes des droits humains cosignent cet appel pressant aux États membres et aux organismes internationaux pour qu'ils remplacent leurs politiques actuelles en matière de drogues par une approche de justice globale, réparatrice et réintégratrice.
La réduction des risques est un aspect essentiel de la santé publique, qui permet de sauver des vies et de protéger la dignité, l'autonomie individuelle et d'autres droits humains.
La consommation de crack est une situation complexe qui requiert des réponses dans une perspective d'inclusion et de soin, et non pas de la stigmatisation et la répression.