Le site rassemble aussi toutes les organisations qui sont associées dans cette volonté de changer les politiques en matière de toxicomanies. Le site a aussi pour but de montrer un visage uni du mouvement.
"Nuit blanche?" a initiée une campagne de prévention et de réduction des risques liés à la consommation de produits psychotropes par sniff: "Tirez un trait sur le partage".
Time prolonge un éditorial du British Medical Journal à propos des applications cliniques possibles des substances psychédéliques et plaidant pour leur reclassification.
Les récentes exécutions de masse commises par l’Indonésie ont propulsé la peine de mort sur le devant de la scène, et ont mis feu au débat entre Etats abolitionnistes et Etats partisans de la peine capitale, à propos de la légalité et de l’efficacité de cette sanction.
L’ancien Secrétaire Général des Nations Unies, Kofi Annan, a attiré l’attention sur la nécessité de réguler les drogues afin de mieux protéger la santé à la 68ème édition de l’Assemblée Mondiale de la Santé.
Les experts en politique des drogues affirment que les lois sévères dans de nombreux pays asiatiques ne contribuent pas à réduire la consommation problématique de drogues sur leurs territoires.
Selon M. Ivanov, 200 000 usagers de drogues sont poursuivis chaque année pour des délits administratifs et pénaux. La réorientation de ces individus vers un traitement améliorerait la situation générale de la consommation de drogues dans le pays.
La plupart des infractions liées à la drogue pour lesquelles la peine de mort est appliquée dans les tribunaux nationaux ne peuvent être qualifiées de « délits les plus graves » comme l’entend le droit international des droits humains, puisqu’elles ne constituent même pas des délits « particulièrement sérieux » au sens du droit sur le contrôle international des drogues.
L’utilisation croissante de personnes âgées comme mules par des organisations criminelles a provoqué un appel, adressé aux autorités, à reconsidérer les peines sévères imposées à leur encontre à Hong Kong.
La formation vise à développer les compétences des participants, en vue de soutenir leurs propres gouvernements à adopter des politiques des drogues qui soient étayées par la santé publique et la sécurité des citoyens, ancrées sur une approche de réduction des risques fondée et soutenue par des lois ou coutumes qui soient conformes aux droits humains.
Populations, gouvernements et officiers de police ont appelé à une réforme et à une professionnalisation des forces de police, à travers une responsabilité accrue, une légitimité et un contrôle plus poussé, en vue de se conformer aux besoins actuels de la population.
ASUD s’est doté d’un outil, l’Observatoire du Droit des Usagers, visant à favoriser la réappropriation par les usagers de drogues de leur citoyenneté en permettant de dénoncer les manquements afin de faire valoir leurs droits.